Moisson toutes céréales

Nos 4 moissonneuses New Holland (CR, CX) sont équipées de coupe de 4.80 m à 7.32m, avec ou sans broyage de la paille, nous disposons de coupes rallongées.

Nous pouvons récolter le blé, colza, orge, tournesol, maïs, persil, luzerne…

Notre faucheuse-andaineuse Equip Agri peut être associé à ces récoltes.

Souvenez-vous !
La moisson s’est longtemps faite à la main avec des faux, des faucilles ou des sapes, et c’est encore le cas dans certaines régions moins avancées. La moisson manuelle consistait à confectionner des gerbes qui étaient entassées en meules, le temps que sèche la récolte avant l’opération suivante : le battage qui consiste à séparer le grain de la paille. Ces opérations étaient pénibles et coûteuses en main d’œuvre, forçant les paysans à se regrouper pour la terminer avant les pluies.
La première étape de la mécanisation est intervenue avec l’invention de la moissonneuse, inventée aux États-Unis par Cyrus McCormick en 1831, qui assurait la coupe des tiges grâce à une barre de coupe mécanique. Vers la fin du XIXe siècle apparut la moissonneuse-lieuse, machine tractée à l’origine par des chevaux qui permettait de couper les tiges et de les lier en gerbes. La mécanisation du battage s’est faite grâce à l’emploi de batteuses fonctionnant à poste fixe. Puis sont apparues les moissonneuses batteuses combinant les deux opérations réalisées simultanément sur le champ.
Du premier coup de faucille à l’enlèvement de la récolte, la moisson traditionnelle s’accompagne ou s’accompagnait dans toutes les cultures de rituels divers : en Europe, par exemple, les rituels liés à la dernière poignée d’épis, la dernière gerbe, la dernière charrette, le repas de clôture de moisson, les croix de moisson, la messe des blés.